Dombes, d’hommes et d’oiseaux La passion de la Dombes

Les grandes formations végétales en Dombes

Les pages suivantes vous feront découvrir les grandes fomations végétales de l'étang dombiste et de sa périphérie immédiate

Retrouvez-les dans l’album photo « La Dombes, Végétation des étangs » (Bonus)

Vers la fin des années 1990 on considérait encore que la physionomie de l’étang sensu stricto n’avait que peu évolué, en comparaison de son bassin versant [1].

Parce que l’évolution était plus insidieuse, plus progressive, plus complexe aussi dans ses origines, elle n’est devenue évidente que récemment, avec l’appauvrissement net des herbiers aquatiques, la fonte sensible des roselières.

Villarsie faux-nénuphar

Un spectacle végétal qu'on aimerait plus fréquent

C’est pourtant par la conservation de la végétation aquatique – les « macrophytes » - que passent les véritables enjeux de la Dombes. Sur et hors l’eau, elle conditionne la distribution et en partie l’abondance et de la faune.

Plusieurs paramètres majeurs vont déterminer la présence et surtout l’abondance de la végétation aquatique dans les étangs en Dombes :

  • le profil de l’étang, des berges douces ou abruptes,
  • la qualité de l’eau, dépendant notamment du mode d’exploitation du bassin versant,
  • la gestion piscicole, notamment dans sa gestion des niveaux d’eau et sa charge piscicole,
  • les animaux déprédateurs : l’un d’eux est formellement identifié, le Ragondin.

Articles correspondants

  1. J. Broyer, Conservation des écosystèmes agricoles dans le Val de Saône : définition de normes de gestion – 1991, Ministère de l’Environnement []