Les grandes formations végétales en Dombes
Les pages suivantes vous feront découvrir les grandes fomations végétales de l'étang dombiste et de sa périphérie immédiate
Retrouvez-les dans l’album photo « La Dombes, Végétation des étangs » (Bonus)
Vers la fin des années 1990 on considérait encore que la physionomie de l’étang sensu stricto n’avait que peu évolué, en comparaison de son bassin versant [1].
Parce que l’évolution était plus insidieuse, plus progressive, plus complexe aussi dans ses origines, elle n’est devenue évidente que récemment, avec l’appauvrissement net des herbiers aquatiques, la fonte sensible des roselières.
C’est pourtant par la conservation de la végétation aquatique – les « macrophytes » - que passent les véritables enjeux de la Dombes. Sur et hors l’eau, elle conditionne la distribution et en partie l’abondance et de la faune.
Plusieurs paramètres majeurs vont déterminer la présence et surtout l’abondance de la végétation aquatique dans les étangs en Dombes :
- le profil de l’étang, des berges douces ou abruptes,
- la qualité de l’eau, dépendant notamment du mode d’exploitation du bassin versant,
- la gestion piscicole, notamment dans sa gestion des niveaux d’eau et sa charge piscicole,
- les animaux déprédateurs : l’un d’eux est formellement identifié, le Ragondin.
Articles correspondants
- De la haie… - 10/06/2011
- Plantes invasives : La menace de la Jussie à grandes fleurs - 20/12/2010
- La végétation du centre de l’étang : les hydrophytes - 20/12/2010
- Quid des prés et des landes : l’extension du périmètre Natura 2000 - 24/10/2010
- Vernes et vorgines - 24/10/2010
- La Forêt - 24/10/2010
- La Sparganiaie et autres associations végétales - 24/10/2010
- La roselière - 24/10/2010
- Les vasières - 24/10/2010
- Etang « sale » et biodiversité - 24/10/2010
- J. Broyer, Conservation des écosystèmes agricoles dans le Val de Saône : définition de normes de gestion – 1991, Ministère de l’Environnement [↩]